A l’occasion de ses 25 ans ; le film culte de Tim Burton revisité en ciné-concert par le détonant duo Tago Mago.
Avant première au festival Travelling (Rennes) en février 2025.
Disponible en tournée à partir de mars 2025.
Projet créé en lien avec Clair Obscur, Les Trans Musicales, le 6par4
et Le Jardin Moderne
Explorant l’incroyable potentiel cinétique de leur musique instrumentale hypnotique, TAGO MAGO fait aujourd’hui le pari d’un ciné-concert autour de Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête (1999), film culte de Tim Burton.
La complicité est immédiate entre la musique à la fois sauvage et lancinante, brute et cosmique, de Joris Prigent (claviers, voix) et Léo Le Roux (batterie, moog, voix) et le romantisme noir gothique, noyé dans le brouillard, des aventures fantastiques d’Ichabod Crane. À contre pied de la BO originale très orchestrale de Danny Elfman, la pulsation métronomique et inventive et les complexes et incandescentes architectures sonores de TAGO MAGO transfigurent littéralement notre rapport à l’image.
Entre déflagrations soniques et apaisement, halètement sauvage et psychédélisme, groove et odyssée, les magnifiques symphonies minimales de TAGO MAGO nous embarquent dans d’impétueuses et passionnantes aventures sonores.
Sleepy Hollow, la légende du cavalier sans tête
avec Johnny Depp, Christina Ricci, Christopher Walken
En 1799, dans une bourgade de La Nouvelle-Angleterre, plusieurs cadavres sont successivement retrouvés décapités. Les têtes ont disparu. Terrifiés, les habitants sont persuadés que ces meurtres sont commis par un étrange et furieux cavalier, dont la rumeur prétend qu’il est lui-même sans tête. Les autorités new-yorkaises envoient alors leur plus fin limier pour éclaircir ce mystère. Ichabod Crane ne croit ni aux légendes, ni aux vengeances post-mortem. Mais, à peine arrive, il succombe au charme étrange et vénéneux de la belle Katrina Van Tassel.
L’univers de Tim Burton est une illustration des ressources du fantastique contemporain. Dans Sleepy Hollow, il hérite littérairement d’Horace Walpole, ou plus précisément de l’un de ses disciples, l’écrivain américain Washington Irving et sa nouvelle gothique The Legend of Sleepy Hollow (1819), récit des tourments causés par un cavalier décapité, lui même trancheur de têtes.